dimanche 15 novembre 2009

Ouvertures

Les étrangers connaissent leurs intérêts et les trouvent en Algérie. Le flux à Alger des responsables politiques en tête de délégations de patrons, les premiers se transformant en VRP au service des seconds, est un signe loin d’être trompeur sur ce regain d’attractivité. 
De toutes parts, d’Asie, d’Amériques et bien sûr d’Europe, il n’est pas un jour sans que soit annoncé l’arrivée ou le départ d’un groupe d’hommes d’affaires, ce chassé-croisé s’inscrivant en faux radical contre toutes les insinuations malveillantes contre les dispositions de la loi de finances complémentaire adoptée durant l’été.

Il n’y a rien d’anormal à ce que des hommes d’affaires étrangers, représentants de leurs Etats ou privés, soient animés par une volonté, d’ailleurs non dissimulée, de tirer profit des sommes astronomiques, comptabilisées en milliards de dollars, injectées dans l’actuel plan de développement.

Attirer les convoitises, c’est fait pour. Tous les partenaires étrangers sont donc accueillis avec déroulement de tapis rouge, pourvu qu’ils s’inscrivent dans le cadre de la loi et des attentes précisées par ladite LFC.

En tout état de cause, il est inscrit quelque part que quelque chose a changé dans ce pays, la croissance du partenariat, en qualité et en quantité, en étant une preuve palpable. La dynamique est irréversible et est lancée sur un train qui n’est pas pourvu de marche arrière. L’Algérie en bénéficie et les étrangers en profitent. C’est l’essence même du partenariat.

N.S.

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