mardi 29 septembre 2009

Démentis

Au quotidien, et cela dit sans verser dans la surenchère triomphaliste, les entreprises étrangères viennent signer des contrats en Algérie. Certes, on ne se bouscule pas encore au portillon de l’investissement direct étranger (les fameux IDE), mais chaque contrat avalisé vient infliger un cinglant démenti à tous ceux, et ils sont nombreux, qui claironnent sur tous les toits que la LFC serait initiatrice de blocage à tous les types de partenariat.

Cette loi de finances complémentaire, inscrite dans la lutte contre les effets de la crise mondiale, a pour préoccupation majeure, autant dire unique, de protéger l’économie nationale.

Il est normal que cet objectif, les flux financiers et commerciaux étant interconnectés et notre pays n’évoluant pas en autarcie, ne s’inscrive pas en droite ligne de certains intérêts étrangers. Il leur est juste demandé de tenter de jouer cartes sur table et ne pas faire des procès d’intention, surtout par relais locaux interposés. Cette LFC a suscité une levée de boucliers, d’abord à visage découvert, ce qui est de bonne guerre, puis par une véritable guerre larvée, et non moins nocive, qui est livrée à son principal initiateur.

Au moins par ce qu’elle provoque autant de remous émanant des ennemis classiques de l’Algérie et de leurs «suppôts» intérieurs, ce document mérite d’être soutenu et son contenu expliqué et explicité, autant qu’expliquer se peut.

La démarche va dans le sens de la protection de l’économie nationale et des intérêts bien compris de tous nos partenaires. C’est là la force de ce document. C’est là également que les rapaces puisent tous les arguments de leurs féroces attaques. Féroces mais vaines, puisque les investisseurs étrangers n’ont pas été découragés, bien au contraire.

N.S.

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